• Elections 2014 - A propos du duel Alain Brest / Pierre Verdier

    Dans la Dépêche du Midi du 20 mars 2014,  M. Verdier dit : " Aujourd’hui, parler de fusion (entre les 2 communes) n’a pas de sens mais il est nécessaire de faire des choses ensemble." Qu'il nous dise pourquoi ? C'est la raison pour laquelle depuis son arrivée il n'a jamais été favorable à lancer une étude (suggérée) afin d'examiner ce qu'il pouvait apporter en plus pour aider le Rabastinois. Par ce refus persistant il scelle quasiment dans le marbre la coexistance de 2 conseils municipaux(les 2 mairies sont à moins de 800 mètres l'une de l'autre) soit 48 conseillers municipaux. Il y en a 29 à St Sulpice et 43 à Albi ou Castres. C'est donc près de 300 000 euros de perdus pour la mandature précédente (2008-2014) et environ 200 000 euros perdus pour celle à venir (pour 2014-2020, l'adjoint sortant à Coufouleux ayant annoncé une baisse des indemnités pour les élus). Au total, M.Verdier fait perdre au Rabastinois et par voie de conséquence aux autres communes de la CORA, la rondelette somme de 500 000 euros rien qu'en indemnités versées aux élus sur 2 mandatures. Soit l'équivalent de 144 subventions de 3400 euros qui échappent au social, aux associations, aux sapeurs pompiers, aux comités des fêtes, etc. Quelle imposture ! Que les Rabastinois s'en aperçoivent ! Le ver est venu dans le fruit ! Avec l'ancien maire de Coufouleux en embuscade, la municipalité de Coufouleux tenterait-elle de prendre les rennes du Rabastinois au détriment des autres communes ? Nos raisonnements peuvent-ils se couper de ce que nous vivons au quotidien au niveau national ou européen. Y'en a marre ! D'ailleurs je pense au " Cinq ", quai Escoucières à Rabastens qui mène un travail culturel/artistique remarquable et j'en suis désolé pour eux. Idem pour la MJC et tous les clubs sportifs. Ouvrons les yeux ! Que notre conscience ne s'abandonne pas à un aveuglement de passage. Sauvegardons notre éthique, notre morale surtout devant les urnes. A moins que l'on soit disposé à rejoindre les traditionnels faux-fuyants en politique, ceux que nous rencontrons à d'autres niveaux, départemental, régional, national et européen. Que nous reste-t-il à faire ? Choisissons bien notre camp et méfions-nous des ambitions feintes . Avec abnégation, il s'agit de gérer au mieux notre bassin de vie de proximité.

     


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